samedi 9 août 2014

Le petit supplément de la convention mondiale : les lectures des prix hugos.

Troisième novella, Equoïd, de Charles Stross, Tor.com, sept 2013.

Or donc, la date du départ pour Londres approche et je sens que je ne vais pas arriver à bout des billets, même si j'aurais sans doute lu les textes.
Charles Stross et une novella qui fait partie du cycle de La Laverie, dont je n'ai lu aucun roman. Il faut que je vous dise une chose : pour moi, Charles Stross, c'est le geek dont je lisais les textes dans Interzone, en en comprenant pas la moitié parce qu'il écrivait dans un style pas des plus fluides (euphémisme) et avec des références informatiques qui m'échappaient. Il s'est trouvé un agent, et à partir de là, il a sérieusement amélioré son écriture, pondu des tonnes de romans et gagné des sous, ce qui est très bien pour lui. Moi, j'ai toujours un peu de mal.
Donc, ça faisait un bail que je n'avais pas lu quoi que ce soit de Charlie Stross, et bon, il n'a pas changé, c'est une histoire parfaitement foutraque d'enquête sur l'espèce animale la plus barrée qu'il m'a été donné de rencontrer depuis longtemps. Cela méritait-il un démarrage si long (mais utile si on veut savoir qui est l'enquêteur principal) et un humour qui n'est pas trop ma tasse de thé, mais je comprendrai qu'il y ait des amateurs. Quant a ce qu'en pensera la génération petits poneys, je n'ose y penser.

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