Le jeudi, c'est jour de marché. Mais je passe au moins une ou deux fois par semaine devant la grande vitrine de la Maison de la Presse, ou cet exemplaire de Temps Glaciaires, de Fred Vargas fond progressivement depuis sa sortie — début mars, donc. Il fut un temps ou j'achetai le Fred Vargas de l'année au Salon du Livre, à l'époque où j'y allais — y'a un bail, donc, avant qu'elle vende à des cent milles exemplaires. Là, n'étant pas adepte de la PAL, je ne suis pas pressée et je contemple la lente dégradation de cet exemplaire, non sans mélancolie. (Il est hors de question de me faire refiler celui-là, je n'ai aucune révérence pour les livres, mais si j'achète un livre neuf avec mes sous, j'aime bien qu'il soit neuf, et s'il est abîmé, j'aime bien que ça soit à cause de MA négligence, pas celle du libraire.).
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jeudi 18 juin 2015
dimanche 26 janvier 2014
La quotidiennitude de la vraie vie de tous les jours…
Chronique des objets de la vie.
Il faut faire avec ce qu'on a et je ne me vois pas, dans un futur proche, partir pour des contrées lointaines-zet-exotiques.
Hier, j'étais aux Lous Régalets, un charmant salon de thé auscitain où m'attendaient néanmoins, entre des meringues roses et autres tartelettes au citron, ceci :
Il faut faire avec ce qu'on a et je ne me vois pas, dans un futur proche, partir pour des contrées lointaines-zet-exotiques.
Hier, j'étais aux Lous Régalets, un charmant salon de thé auscitain où m'attendaient néanmoins, entre des meringues roses et autres tartelettes au citron, ceci :
Non, pas le sirop de fruits de la passion, ça c'est classique, mais le sirop de concombre. Oui. Moi aussi ça m'a fait un drôle d'effet, surtout que comme je l'ai déjà dit ici (il me semble), je n'aime pas le concombre, alors l'idée de concombre en sirop…
Sinon, cette semaine, j'ai eu les lardons "sans gluten".
Gné (comme on dit sur les réseaux sociaux). L'esprit, entre les rayons, tente de s'imaginer ce qu'ils faisaient aux lardons, avant, pour qu'il y ait du gluten…
Et « l'écharpe repositionnable ».
Oui, car l'écharpe traditionnelle et classique, est un objet droit et raide et que l'on ne peut placer que d'une seule façon — toute droite, comme une canne ? autour de son cou — alors que l'écharpe moderne se love souplement dans toutes les positions que votre imagination pourra proposer à votre esprit avide de nouveauté dans sa lutte éternelle contre le froid.
Sauf qu'il ne fait pas spécialement froid, cet hiver, il pleut surtout.
Qu'à cela ne tienne, la semaine prochaine, le parapluie sera sans doute repositionnable aussi.
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