En clair :
• mon éditeur attend la suite de Haute-École, dont le titre est La substance des dieux. Je projette de terminer fin juin, si tout va bien (et tout devrait aller bien, si je n'étais pas une grosse angoissée qui déteste deux choses : trop planifier (genre synopsis au cordeau que l'on suit jusqu'au bout tel le moine enluminant son manuscrit) et ne pas planifier (genre je suis en fait morte de trouille de me trouver dans un des ces trous blancs où même si des idées viennent ce ne sont pas les bonnes idées et (horreur) Je N'avance Pas. (Vous pouvez glousser, je glousse moi-même, mais jaune).
• Actu SF va vous mitonner deux jolis recueils numériques de mes nouvelles qui n'avaient pas trouvé de place ailleurs, il faut juste que je leur trouve des titres.
• J'ai écrit de nouveaux textes qui finiront bien par sortir quelque part, mais je ne sais pas encore où. Il y en a d'autres. Il y a des projets de romans pour les ados, aussi.
• Pour des raisons bien trop complexes à raconter ici, je ne sais pas quand je traduirai les troisièmes et quatrièmes tomes de la nouvelle série de Gail Carriger, dont le premier paraît en mars. Ce n'est pas que me retrouver à n'avoir rien d'autre à faire qu'écrire me déplaît, c'est que c'est financièrement flou (j'aime pas) et en fait, assez inédit. Mais je vais m'habituer.
• surtout que je n'ai aucun salon jusqu'aux Imaginales en mai, et j'ai beau apprécier les balades dans ce beau pays, je crois que cela me suffira en fait très bien. Je pourrais peut-être même alimenter un peu plus souvent ce blog. Peut-être. Si vous êtes vraiment très sages.
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