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dimanche 23 décembre 2007
samedi 22 décembre 2007
En attendant que Peter Jackson fasse le Hobbit
La preuve qu'Aragorn existe toujours… Oui, je pensais qu'il n'existait que sur la pellicule. Mais en fait, non, il existe dans la tête de celui qui l'a joué… Il peut le refaire. N'importe quand, n'importe où. J'y peux rien, ça m'impressionne…
Décoration intérieure
Cette image résulte de la frustration que j'éprouve à ne pas pouvoir aller me faire une expo virtuelle de mes images dans Second Life, ou ailleurs dans le virtuel. Pas le bon système, le bon ordi, pas le temps, etc…
Donc, vive Photoshop et Google. J'entame une série de présentations virtuelles d'images digitales qu'un jour je réunirai dans un expo virtuelle dans un espace idem.
On peut voir les autres sur mon autre blogue .
N'empêche que la question de savoir si une image peut être mise sur un mur dans un salon ou au dessus d'un canapé se promène dans ma tête en ce moment. Prenez Jean Rustin, par exemple : vous voyez ces peintures-là dans le salon de votre tante Sophie ? Je les ai vues par hasard, à la faveur d'une expo sur la commune qui se déroulait à côté. Les photos du site ne sont pas très bonnes, les vraies étaient encore plus impressionnantes.
Bon, d'accord, ça dépend de la tante Sophie. N'empêche que cette question du caractère décoratif d'une image ne se pose pas de la même façon pour un livre. Il y a de "beaux livres" (on les achète à Noël, paraît-il), mais est-ce que ça en fait des objets aussi triviaux que des images "décoratives ?" Est-ce que ça a la moindre importance ? Je ferais mieux de retourner traduire mon Baxter, moi. (Pas d'inquiétudes, gentils lecteurs, il sera prêt à temps, il faut juste que je garde le rythme…)
ah, oui, j'oubliai : celle de dessus s'appelle "Looks good in a living-room."
mercredi 5 décembre 2007
David Cronenberg - Entertainment News, Eye on the Oscars: Director, Media - Variety
Décidément, les réflexions de Cronenberg sur la sobriété dans le cinéma conviennent parfaitement à ce que je pense de la Science-Fiction :
"On utilise les conventions du genre pour en tirer de la force, mais si on suit la structure de trop près, on obtient un flm prévisible et ennuyeux." Le truc, dit-il, c'est de "s'approprier les conventions tout en les subvertissant".
Voilà.
Le monsieur vous donne la recette.
Ça a l'air simple, non : servir un genre et le transcender.
If only.
David Cronenberg - Entertainment News, Eye on the Oscars: Director, Media - Variety: "
David Cronenberg
Darkhorse directors also in the Oscar race
By PETER DEBRUGE
Reteaming with his 'History of Violence' star Viggo Mortensen, Cronenberg serves up another subterranean personality study, this time in the form of 'Eastern Promises,' a razor-sharp film noir. Like last year's 'The Departed,' it functions on multiple levels -- a genre movie with deep psychological undercurrents.Explains Cronenberg: 'You use the conventions of the genre to give you strength, but at the same time if you follow the structure too closely then you end up with a predictable, boring movie.' The trick, he says, is to embrace the conventions while subverting them at the same time -- a technique that had some audiences feeling the story was too short.'I take that as a compliment,' he says. 'Then they write what the ending should have been. You want to see him taken away in handcuffs and all of those things, but the fact that you know all that means I don't have to do it, so let me spend screen time showing you some things that you wouldn't have anticipated instead.'"
"On utilise les conventions du genre pour en tirer de la force, mais si on suit la structure de trop près, on obtient un flm prévisible et ennuyeux." Le truc, dit-il, c'est de "s'approprier les conventions tout en les subvertissant".
Voilà.
Le monsieur vous donne la recette.
Ça a l'air simple, non : servir un genre et le transcender.
If only.
David Cronenberg - Entertainment News, Eye on the Oscars: Director, Media - Variety: "
David Cronenberg
Darkhorse directors also in the Oscar race
By PETER DEBRUGE
Reteaming with his 'History of Violence' star Viggo Mortensen, Cronenberg serves up another subterranean personality study, this time in the form of 'Eastern Promises,' a razor-sharp film noir. Like last year's 'The Departed,' it functions on multiple levels -- a genre movie with deep psychological undercurrents.Explains Cronenberg: 'You use the conventions of the genre to give you strength, but at the same time if you follow the structure too closely then you end up with a predictable, boring movie.' The trick, he says, is to embrace the conventions while subverting them at the same time -- a technique that had some audiences feeling the story was too short.'I take that as a compliment,' he says. 'Then they write what the ending should have been. You want to see him taken away in handcuffs and all of those things, but the fact that you know all that means I don't have to do it, so let me spend screen time showing you some things that you wouldn't have anticipated instead.'"
lundi 3 décembre 2007
Une planète par jour
Parmi tous les trucs stupides qu'on peut trouver sur le net, il a fallu que je tombe sur les générateurs.
Cette planète a donc été fabriquée hier par le Planet of the Day generator.
Et voici le texte généré à l'instant par le posmodernist generator.
Oui, ça "parle" de Gibson. Pourquoi est-ce que je n'utilise pas ça pour faire des articles, moi ?
Et dire que je cherche une présentation graphique sympa pour la phrase essentielle de la Déclaration des hommes libres et singulier alors qu'on peut obtenir tout ça grâce au Typo Generator…
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