vendredi 19 avril 2013
Quoi de plus fascinant que le concept d'auto-organisation, surtout si l'on veut se passer d'une cause première et autres créatures omnipotentes et qui auraient, en plus, des idées sur qui ou quoi vous devriez culbuter et/où épouser quand revient le printemps… Et si, en plus, c'est mou, ça doit être ici.
lundi 4 mars 2013
Le petit supplément de la mère Denis du dimanche, n°11 :
Supplément en retard :
Oui, je sais, on est lundi soir et pas dimanche, mais bon, soit j'écris ce post ce soir, soit je vais encore trouver un moyen de le procrastiner, donc je le rédige ce soir et je ne le programmerai même pas pour qu'il paraisse dimanche prochain. On supplémente comme on peut.
Je ne sais pas si vous me suivez sur Facebook donc je vais faire un petit rappel, mais rapide, hein, on va pas s'étaler… J'ai déménagé. Quitté Cognac au bout de vingt ans. Putain, vingt ans. Je n'avais jamais vécu autant de temps dans une ville. Ça n'a pas de sens. C'était prévu et ça n'était pas prévu comme ça, bien entendu. J'habite désormais à Auch, ville de d'Artagnan et d'un souvenir de salon de SF en 82, parce qu'une partie de ma famille y vit et que les déplacements, ça distrait, à défaut d'autre chose.
Et la seule raison pour laquelle j'ai pu faire ça sans frôler de près ou de loin la catastrophe financière, eh bien, c'est grâce aux dons reçus cet été de… ben, plein de gens à qui je tenais à dire MERCI avant de réactiver ce blog.
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Supplément déplacement :
On peut dire ça comme ça, en fait : toute ma vie désormais est du domaine de la distraction, de la déviation, de l'occupation. Je fais des trucs. Des cartons pendant quinze jours. Un voyage Cognac-Auch avec des chats. Encore des cartons, du déballage, du rangement. Comme ces jeux pour gosses où on doit reconstituer une image divisée en petits carrés qui bougent, mais en grandeur nature et avec une partie à l'intérieur. (Google me dit que ça s'appelle le jeu du taquin !)
Les dernières corrections du dernier tome des aventures de Mlle Tarabotti (note pour les amateurs de la série : l'auteur vient d'annoncer sur son blog que ses suites ne paraîtront pas avant 2015 ! ). Et (mystères de l'édition…) je pensais travailler sur sa prochaine série ce printemps, mais en fait non, je vais me lancer dans le prochain roman de Norman Spinrad pour Fayard.
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Supplément lecture :
J'ai reçu ce matin Les enfants d'Evernight 2. L'Orphelinat du Cheval Pendu, d'Andoryss, Yang & George et j'avais apprécié le premier tome et son atmosphère peterpanesque au point que j'étais prête à le relire avant de me lancer dans celui-ci sauf que… oui, il était dans les dernières bd à avoir été mises en cartons, et je ne sais plus où il est…
Fini cette semaine, après interruption et reprise. Nominé pour le BSFA et le Nebula. Agaçant, lent, trop parfois, impossible néanmoins à lâcher. Je ne partage pas l'enthousiasme de Jeff Vandermeer (le seul type qui ose utiliser ses propres textes pour expliquer des trucs sur l'écriture, lisez le billet si vous lisez l'anglais, pas tant pour ce qu'il dit sur 2312 que sur l'écriture en général) mais je ne suis pas non plus d'accord avec M. John Harrison. "Si Robinson a une faiblesse", (dit-il) c'est celle, immémoriale, de l'auteur de hard-science : croire que son lecteur est aussi excité que lui par les spéculations technologiques extrêmes." Bah. Quelle idée. Bien sûr qu'il est excité, le lecteur ! Ce roman est l'histoire d'une année : 2312, où dans un système solaire terraformé par les différents pouvoirs (Mars, Saturne et ses lunes, Mercure) en place, les choses et l'histoire, ou ce qui en tient lieu dans une époque balkanisée et mouvante, bascule. Une abondance de merveilles : astéroïdes transformés en terrariums, villes se déplaçant sur Mercure, miroirs destinés à protéger Vénus, commerce de la lumière et de l'azote. Le tout par des humains modifiés qui vivent plusieurs siècles, avec les changements psychologiques que cela comprends, le tout avec une rigueur et une crédibilité scientifique que l'on ne peut qu'apprécier. Et c'est peut-être là où le bât blesse : à force de spéculation intelligente et de personnages pondérés, Kim Stanley Robinson en oublie peut-être de mettre la folie et la poésie du côté de l'intrigue et, tout en admirant la pertinence de son système solaire, j'ai trouvé le livre un peu trop lent à mon goût.
Je vais donc lire ceci, de Barbara Hambly, qui question suspense sait y faire (pas que Kim Stanley Robinson ne sache pas. Mais il n'a pas voulu et j'aurais préféré qu'il veuille et qu'il ne cantonne pas la passion au personnage quelque peu exaspérant de Swan). Certains d'entre vous aurons peut-être lu Le Sang d'Immortalité et Voyage avec les morts. C'est la même série. Ravie je suis !
Moins ravie j'étais, hier soir, quand il m'a pris la drôle d'idée de télécharger le livre sur le site de la fnac. Pas trouvé ailleurs, sauf sur Amazon, donc pas en epub (j'ai une liseuse Sony.) Donc, fnac, transaction, blabla, je m'enquiquine avec leur locigiel, récupère un vieux compte, parviens je ne sais plus trop comment à transférer le fichier sur la liseuse, mais quand je veux lire sous ma couette douillette devinez quoi : rien. Protégé par la gestion des droits numériques. Protégé mon c*l ! J'ai envoyé un mot à la fnac pour leur expliquer le problème (pas que j'attende une réponse, mais bon…) et j'ai demandé son assistance à l'intelligence collective, qui m'a fourni un FICHIER LISIBLE en moins de deux.#quandonvousdisquelesdrmcénul.
vendredi 3 août 2012
L'empire du sommeil sur le site de l'Atalante
Un petit coup d'œil à la couverture ?
Le résumé :
Le résumé :
La civilisation humaine la plus avancée, que représentent les Grands Modifiés et la Charte, mise en position de faiblesse par l'épidémie de grand sommeil, subit des attaques de plus en plus nombreuses du monde des Cartels.
Dans le même temps Irina Mincor, la Grande Modifiée de l'Abondant, s’est installée sur un astéroïde en orbite de la planète Ninhs dans l’idée de reconstituer son vaisseau tout en surveillant Kiris T. Kiris, la responsable de son naufrage. Et elle repère que, profitant des migrations auxquelles les humains et la population arboricole autochtone se préparent pour affronter l’hiver, Kiris T. Kiris s'apprête à les attaquer.
Elle lance un appel de détresse, attirant les Grands Modifiés hors de leur territoire habituel.
Dans le même temps Irina Mincor, la Grande Modifiée de l'Abondant, s’est installée sur un astéroïde en orbite de la planète Ninhs dans l’idée de reconstituer son vaisseau tout en surveillant Kiris T. Kiris, la responsable de son naufrage. Et elle repère que, profitant des migrations auxquelles les humains et la population arboricole autochtone se préparent pour affronter l’hiver, Kiris T. Kiris s'apprête à les attaquer.
Elle lance un appel de détresse, attirant les Grands Modifiés hors de leur territoire habituel.
dimanche 8 juillet 2012
La rentrée se prépare !
Le 20 Septembre chez l'Atalante :
Hide*Out d’Andreas Eschbach
Un thriller de science-fiction palpitant, à la fois roman d’action et histoire d’amour, d’autant plus oppressant que les technologies que l’auteur décrit sont déjà à portée de main.
Hide*Out fait suite aux événements qui se sont joués dans Black*Out.
Vers la lumière d’Andreï Dyakov
Dans les profondeurs du métro de Saint-Pétersbourg où la mort revêt de multiples visages, une expédition vers la surface va être armée. Une lumière a été aperçue du côté de Kronstadt, est-ce un signal de la fameuse Arche de salut dont parlent tant de sectaires disséminés à travers tout le métropolitain ?
Vers la lumière est le premier roman traduit du projet Univers de Métro 2033.
L’Empire du sommeil de Sylvie Denis
Après La saison des singes, à la fois roman d’aventures et de suspense et réflexion sur le rôle de la technoscience, Sylvie Denis signe le deuxième tome de son diptyque.
J'aurais également le grand plaisir d'être au sommaire de Fiction n°15 avec une nouvelle comment dire, euh… bizarre. En compagnie (excusez du peu !) de Sara Doke, Cédric Ferrand, Timothée Rey, Michael Alexander, Paolo Bacigalupi, Peter S. Beagle, Richard Bowes, Jeffrey Ford, Ted Kosmatka, Heather Lindsley, Alex Irvine, Benjamin Rosenbaum, Geoff Ryman et Colville Petipont.
Hide*Out d’Andreas Eschbach
Un thriller de science-fiction palpitant, à la fois roman d’action et histoire d’amour, d’autant plus oppressant que les technologies que l’auteur décrit sont déjà à portée de main.
Hide*Out fait suite aux événements qui se sont joués dans Black*Out.
Vers la lumière d’Andreï Dyakov
Dans les profondeurs du métro de Saint-Pétersbourg où la mort revêt de multiples visages, une expédition vers la surface va être armée. Une lumière a été aperçue du côté de Kronstadt, est-ce un signal de la fameuse Arche de salut dont parlent tant de sectaires disséminés à travers tout le métropolitain ?
Vers la lumière est le premier roman traduit du projet Univers de Métro 2033.
L’Empire du sommeil de Sylvie Denis
Après La saison des singes, à la fois roman d’aventures et de suspense et réflexion sur le rôle de la technoscience, Sylvie Denis signe le deuxième tome de son diptyque.
J'aurais également le grand plaisir d'être au sommaire de Fiction n°15 avec une nouvelle comment dire, euh… bizarre. En compagnie (excusez du peu !) de Sara Doke, Cédric Ferrand, Timothée Rey, Michael Alexander, Paolo Bacigalupi, Peter S. Beagle, Richard Bowes, Jeffrey Ford, Ted Kosmatka, Heather Lindsley, Alex Irvine, Benjamin Rosenbaum, Geoff Ryman et Colville Petipont.
samedi 16 juin 2012
jeudi 24 mai 2012
Scarabée…
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